Les SIG servent de base d’analyse à un groupe pluridisciplinaire
L’effet de l’augmentation du temps passé à la maison sur les dépenses de consommation a considérablement modifié nos attentes traditionnelles en matière d’offre et de demande. Ce changement de comportement a également bouleversé la planification des producteurs et des transformateurs de denrées alimentaires. On peut imaginer les difficultés qu’il y a à limiter la production et la livraison de produits alimentaires pour essayer de s’adapter à la demande, ou même à l’absence de demande.
En ce qui concerne l’agriculture, la question de la gestion de la production et de l’approvisionnement ne se pose pas seulement à l’intérieur des frontières nationales, car la pandémie touche la chaîne d’approvisionnement mondiale, dans laquelle le Canada est actif. Pour déterminer quelles sont les vulnérabilités du réseau, il faut disposer de données et de renseignements provenant d’une équipe pluridisciplinaire.
À Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC), un groupe de travail composé de membres de diverses directions générales, soit les Services à l’industrie et aux marchés, les Sciences et technologie et les Politiques stratégiques, utilise les SIG pour donner une dimension spatiale à son analyse du secteur. Si vous souhaitez en savoir davantage sur les activités d’AAC en la matière, veuillez lire l’étude de cas suivante : Comprendre les vulnérabilités de la chaîne d’approvisionnement alimentaire du Canada.
James Ashton dirige le groupe de géomatique à AAC. J’ai eu le plaisir de communiquer avec lui récemment par vidéoconférence.
Ce billet a été écrit en anglais par Desmond Khor et peut être consulté ici.