Webinaire « L’incroyable ArcGIS Pro 2.6 » — Q et R
Nous répondons à vos questions sur les plus récentes capacités et fonctionnalités d’ArcGIS Pro 2.6.
Bonjour à tous les adeptes d’ArcGIS Pro! Merci d’avoir participé au webinaire « L’incroyable ArcGIS Pro 2.6 » le 8 octobre 2020. Dylan Trerise et moi-même avons eu beaucoup de plaisir à le présenter, et nous espérons que vous en avez eu autant à y assister! Nous vous sommes particulièrement reconnaissants de n’avoir pas affiché trop de dédain pour nos références à la télé-réalité dans cette présentation des enthousiasmantes nouveautés que l’on trouve dans la dernière version de notre logiciel de bureau phare pour les spécialistes des SIG.
Nous avons tenu notre promesse – aucun Kardashian n’a participé au webinaire. Mais nous y avons disséminé de nombreux jeux de mots terriblement clichés. Vous les avez manqués? Consultez l’enregistrement et les diapositives pour voir nos facéties associant nouvelles fonctionnalités de cartographie et télé-poubelle.
Vous nous avez envoyé beaucoup de questions! Notre ultime défi consiste à trier vos commentaires et à y répondre. Ce faisant, présentons sommairement les principales nouvelles fonctionnalités d’ArcGIS Pro 2.6. Vous êtes prêts? Allons-y!
ArcGIS Pro se dote d’éléments graphiques
[Mark] ArcGIS Pro 2.6 présente des couches graphiques – celles-ci vous donnent la possibilité d’ajouter des éléments graphiques tels que des formes, du texte et des images à vos cartes. Vous pouvez « crayonner » manuellement des éléments graphiques dans une carte ou convertir des étiquettes en une couche graphique. La démonstration présente également le nouvel outil Distance and Direction (distance et direction) permettant de dessiner des lignes, des cercles, des ellipses et des anneaux géodésiques sur votre carte.
Exemple tiré de la démonstration : ajout de couches graphiques pour montrer la nouvelle prolongation du SkyTrain le long du couloir Broadway à Vancouver
Q : Comment avez-vous accédé à l’onglet « Graphics » (graphiques)?
R : Vous devez créer une couche graphique avant de pouvoir accéder à l’onglet contextuel Graphics. Sur votre carte, dans le groupe de couches, cliquez sur Add Graphics Layer (ajouter une couche graphique). S’il y a une couche graphique dans votre carte, l’onglet Graphics vous permettra d’ajouter et de gérer vos éléments graphiques.
Q : Est-il possible d’utiliser la capture avec les éléments graphiques?
R : Voici quelques scénarios concernant la capture et les éléments graphiques :
- Actuellement, vous n’êtes pas en mesure de capturer des éléments graphiques pour les accrocher aux entités.
- Si la capture est activée, vous pouvez utiliser certains outils sur les éléments graphiques (par exemple, l’outil de mesure pour mesurer la distance entre les éléments graphiques ou l’outil de création d’entités pour accrocher de nouvelles entités à un élément).
- Actuellement, vous n’êtes pas en mesure d’accrocher un élément graphique à un autre.
Q : Existe-t-il un moyen d’importer des graphiques d’un fichier .mxd vers un fichier .aprx?
R : Il suffit d’importer un document ArcMap en utilisant l’outil Import Map (importer une carte) dans le ruban Insert (insertion). Les éléments graphiques importés, qui sont des groupes d’annotations dans ArcMap, sont convertis en couches graphiques dans ArcGIS Pro. Les couches graphiques sont stockées dans le fichier de projet ArcGIS Pro et ne sont plus associées à une couche ou à une partie du cadre de données en particulier.
Q : Pouvons-nous importer des étiquettes dans une couche graphique comme on le fait avec la fonction Convertir les étiquettes en annotations dans ArcMap?
R : Dans ArcMap, l’outil Convertir les étiquettes en annotations vous donne la possibilité de stocker vos annotations dans une base de données (en créant une classe d’entités d’annotation liée à une couche d’entités) ou de stocker des annotations dans la carte (en tant que groupe d’annotations). Étant donné que les couches graphiques dans ArcGIS Pro sont stockées dans la carte avec le fichier de projet, vous enregistrez vos éléments graphiques d’étiquettes sur la carte lorsque vous convertissez des étiquettes en graphiques. Cela revient essentiellement à enregistrer des groupes d’annotations sur la carte dans ArcMap. Si vous avez besoin que les annotations soient liées aux entités dans ArcGIS Pro ou pour des situations plus complexes, utilisez plutôt l’outil Convertir les étiquettes en annotations.
Q : Les éléments graphiques se transfèrent-ils bien lorsqu’ils sont publiés sur le portail?
R : Comme avec tous les symboles dans ArcGIS Pro, il faut faire preuve de prudence lors de la publication sur un portail tel qu’ArcGIS Online ou ArcGIS Enterprise. Il se peut qu’une carte web ne puisse pas entièrement prendre en charge une symbologie très complexe. Dans certains cas, des symboles complexes peuvent être déclassés en symboles plus simples au cours du processus de partage. Testez la manière dont les symboles complexes d’ArcGIS Pro sont publiés sur le web. Vous pouvez décider de remplacer votre symbole par un autre ou d’accepter le symbole déclassé.
Les réseaux de traçage
[Mark] Nous avons présenté un nouveau type de données dans ArcGIS Pro 2.6 : les réseaux de traçage. Ces derniers fournissent une solution de réseau simple aux utilisateurs qui ne travaillent pas pour des entreprises de services publics, en utilisant des données de réseaux ferroviaires ou hydroélectriques, par exemple. Dans la démo, nous avons converti un réseau géométrique en un réseau de traçage. Ensuite, nous avons effectué l’analyse des traces sur le réseau et créé une vue schématique des résultats.
Exemple d’un réseau de traçage et d’une vue schématique créés à l’aide d’un réseau géométrique provenant d’un sous-ensemble du Réseau hydro national près de Prince Rupert
Q : Quelle est la robustesse d’un réseau de traçage par rapport à un réseau de distribution?
R : L’idée maîtresse de cette question est la suivante : quelle est la différence entre un réseau de traçage et un réseau de distribution? Cet excellent billet de blogue présente le réseau de traçage avec ArcGIS Pro 2.6 et décrit les principales différences entre les deux solutions de réseau. En résumé :
- Les réseaux de distribution sont conçus pour des services publics modernes qui utilisent un réseau de renseignement solide ainsi que des règles et structures propres à leur secteur.
- Les réseaux de traçage ont un schéma souple, ce qui permet aux utilisateurs de créer, à partir de zéro ou d’un réseau géométrique, des réseaux simples à l’intention des utilisateurs qui ne travaillent pas pour les services publics.
Q : Le réseau de traçage est-il offert sans aucun module d’extension?
R : Vous n’avez pas besoin d’un module d’extension supplémentaire (p. ex. Spatial Analyst ou 3D Analyst) pour travailler avec les réseaux de traçage. Vous devez cependant disposer d’une licence Standard ou Advanced pour créer, entretenir et analyser des réseaux de traçage.
Q : L’amont et l’aval dépendent-ils du sens de circulation de l’entité linéaire?
R : Oui, un réseau de traçage est fondé sur une topologie de réseau. Dans un tel réseau, le sens de circulation doit être défini pour tous les tronçons de la topologie.
Q : Comment le sens de circulation est-il défini dans un réseau de traçage?
R : Initialement, lorsque la topologie du réseau est activée, le sens de circulation est établi avec le sens de numérisation de l’entité linéaire. Utilisez la commande Display Flow Direction (afficher le sens de circulation) pour visualiser le sens de circulation des tronçons de votre réseau. Vous pouvez aussi utiliser l’outil de géotraitement Set Flow Direction (définir le sens de circulation) afin de mettre à jour le sens de circulation d’un ensemble d’entités sélectionné ou de toute une classe d’entités.
Q : Si une mise à jour est effectuée dans la géodatabase (nouvelle entité ponctuelle ou linéaire), le réseau de traçage doit-il aussi être mis à jour?
R : Tous les réseaux de traçage ont une topologie de réseau qui gère et maintient la connectivité entre les tronçons (entités linéaires) et les jonctions (entités ponctuelles). Lorsque la topologie du réseau est activée, la création ou la modification des tronçons et des jonctions est limitée à la topologie. Par exemple, si vous déplacez un tronçon, les jonctions et les tronçons voisins se déplaceront avec lui (effet d’élastique). Lorsque vous mettez à jour vos données, utilisez l’outil Validate Network Topology (valider la topologie du réseau) – dans le ruban ou comme outil de géotraitement – pour maintenir l’intégrité de la topologie du réseau.
Si vous avez beaucoup de nouvelles données à ajouter ou à modifier, utilisez l’outil Disable Network Topology (désactiver la topologie du réseau). Et quand vous avez terminé, utilisez l’outil Enable Network Topology (activer la topologie du réseau) pour recréer la topologie et recenser toute erreur potentielle dans le réseau.
Q : Qu’advient-il des tables d’attributs lorsqu’un réseau de traçage est créé?
R : Les classes d’entités d’un jeu de classes d’entités fournissent les jonctions (entités ponctuelles) et les tronçons (entités linéaires) sources servant à la création d’un réseau de traçage. Lorsqu’un tel réseau est créé, un jeu de données connexe est généré. Les classes d’entités ponctuelles et linéaires d’origine participent au réseau de traçage et, comme les tables d’attributs, demeurent inchangées. Par exemple, si vous utilisez un réseau routier pour définir un réseau de traçage, vous aurez accès à tous les attributs liés aux rues.
Q : Des outils relatifs au réseau de traçage sont-ils offerts dans ArcGIS Online?
R : ArcGIS Online propose l’outil Trace Downstream (parcours aval), qui est similaire à l’outil Trace (traçage) d’ArcGIS Pro utilisant un traçage en aval, qui permet de déterminer les chemins des flux en aval à partir des emplacements ponctuels précisés. Il est toutefois important de noter que l’outil ArcGIS Online utilise un service d’élévation hébergé par Esri pour déterminer le débit en aval, et non vos propres données officielles.
Q : Comme il existe une nouvelle version de la géodatabase prenant en charge de nouveaux types de données, comment les anciennes versions d’ArcGIS Pro ou d’ArcMap traiteront-elles ces nouvelles versions?
R : Dans la démonstration du réseau de traçage, l’outil Upgrade Geodatabase (mettre à niveau la géodatabase) a été utilisé pour mettre à niveau la géodatabase fichier du réseau de distribution d’électricité, car les réseaux de traçage ne sont pris en charge que dans la dernière version de la géodatabase. Les classes d’entités de la géodatabase mise à niveau sont toujours utilisables dans les versions antérieures d’ArcGIS Pro ou d’ArcMap. L’exemple de la démonstration permet toujours d’utiliser le réseau géométrique dans ArcMap. Vous pouvez cependant utiliser le réseau de traçage dans ArcMap, car il ne s’agit pas d’un type de données pris en charge. Conclusion : Vous n’avez pas besoin de mettre à niveau une géodatabase fichier à moins que vous ne souhaitiez tirer parti de nouvelles fonctionnalités (comme le réseau de traçage).
La réelle adéquation d’ArcGIS Pro
[Dylan] Le nouveau modélisateur d’adéquation interactif constitue un moyen plus dynamique d’explorer les meilleurs emplacements pour vos installations en vous montrant immédiatement l’incidence de vos changements de paramètres. Dans la démonstration, j’ai montré la façon dont ce nouvel outil permet de sélectionner de nouveaux habitats pour les cougars.
Exemple d’utilisation du modélisateur d’adéquation pour trouver des corridors permettant de relier les populations de cougars
Q : Comment puis-je utiliser le nouveau modélisateur d’adéquation avec des points vectoriels en entrée?
R : Comme c’était le cas avant d’utiliser cet outil, pour effectuer les calculs algébriques matriciels requis, vous devez disposer d’entrées matricielles pour les couches de critères. Il vous faut donc convertir la classe d’entités ponctuelles en une classe d’entités matricielles à l’aide des méthodes d’interpolation. Pour créer une entrée matricielle à partir de données vectorielles ponctuelles, vous pouvez utiliser le jeu d’outils Interpolation, qui créera une surface continue (c.-à-d. matricielle) à partir de vos points en entrée. Cet ensemble d’outils propose plusieurs méthodes différentes. La plus simple est la pondération par l’inverse de la distance (IDW), où l’influence du point diminue en fonction de la distance par rapport au point.
Transformation extrême : édition ArcGIS Pro
Au-delà des points saillants, plus de 150 améliorations ont été apportées à ArcGIS Pro 2.6. Comme il était impossible de toutes les explorer, Dylan et moi avons présenté certaines de nos fonctionnalités coup de cœur, de la manipulation améliorée des tables d’attributs à la création de séries de cartes à l’aide de signets. Vous nous avez posé des questions sur plusieurs de ces fonctionnalités « en vrac ».
Q : Un nouveau fichier de projet (.aprx) est-il créé chaque fois qu’une sauvegarde est effectuée (lorsque de tels paramètres sont activés)?
R : [Dylan] Non. Il n’existe qu’un seul fichier de sauvegarde à la fois, qui est écrasé à des intervalles donnés. Ce fichier de sauvegarde se trouve dans le dossier .backups qui est situé dans le dossier d’origine du projet. De plus, lorsque vous quittez ArcGIS Pro, ce fichier de sauvegarde est normalement supprimé. Pour consulter la documentation relative à cette fonctionnalité, cliquez ici.
Q : L’outil de récupération s’applique-t-il également aux modifications effectuées dans une géodatabase de fichiers ou SDE?
R : [Dylan] La réponse courte est non.
Mais plus précisément, les modifications apportées à une géodatabase de fichiers sont enregistrées lorsque vous procédez à l’enregistrement d’une séance d’édition à partir de l’onglet « Edit » (modifier) du ruban. Ce qui est sauvegardé, c’est le contenu réel du fichier .aprx du projet. Ce ne sont donc pas les données liées, mais plutôt des éléments comme les cartes, les mises en page et la symbologie. Voici ce qu’en dit la documentation de référence : « Le projet de sauvegarde ne contient pas les modifications qui doivent être enregistrées séparément, telles que les mises à jour des données spatiales, les modifications des propriétés de champ de table et les mises à jour des modèles de géotraitement. »
Puisque le fichier de projet ne contient que des liens aux données et non les données elles-mêmes, celles-ci ne peuvent être sauvegardées. Les bases de données relationnelles d’entreprise, en particulier, sont régies par des règles spéciales qui doivent être respectées lors de la mise à jour et de la sauvegarde des données afin de maintenir l’intégrité de la base de données. Ces règles sont dictées par le type de système de gestion de base de données utilisé (p. ex., Oracle ou Microsoft SQL Server).
Q : Les fenêtres contextuelles configurées en code HTML s’afficheront-elles sur la couche web lorsque je publierai celle-ci dans ArcGIS Online?
R : [Dylan] Oui. Le paramètre d’affichage du contenu de la fenêtre contextuelle sera réglé sur « A custom attribute display » (un affichage d’attribut personnalisé). Si vous cliquez sur le bouton « CONFIGURE » (configurer), puis sur « View HTML Source » (afficher la source HTML), vous pourrez voir le même code HTML que celui que vous avez défini dans ArcGIS Pro.
Exemple de code HTML défini dans ArcGIS Pro afin que les fenêtres contextuelles s’affichent également sur la carte web d’ArcGIS Online
Q : Puis-je déclencher l’ouverture d’un sondage Survey123 à partir d’une fenêtre contextuelle de ma couche à l’aide de code HTML?
R : [Dylan] Oui. Auparavant, il était possible de configurer le tout à partir d’ArcGIS Online en insérant le lien dans la configuration de la fenêtre contextuelle. Vous pouvez désormais le faire à partir d’ArcGIS Pro avant de publier votre projet si vous le souhaitez. Vous pouvez également préremplir les champs du sondage à l’aide des paramètres de champ.
Q : Dans les anciennes applications d’ArcView, il y avait plus d’options de symboles. Ont-elles été ajoutées à ArcGIS Pro 2.6?
R : [Mark] Dans la démonstration « Enregistrer une carte web », nous avons cherché un nouveau symbole de point d’hôpital. Et oui, il y avait beaucoup plus d’options que les symboles 2D par défaut d’ArcGIS Pro. C’est parce que plusieurs styles avaient été ajoutés à partir de sources différentes :
- des styles de système ajoutés qui sont compris avec ArcGIS Pro, mais qui doivent être explicitement activés;
- des styles de bureau importés à partir de fichiers *.style d’ArcMap;
- des styles de solution ArcGIS Pro (*.stylx) téléchargés à partir de l’organisation Style d’Esri, puis ajoutés au projet.
Q : Est-il possible de configurer le format de l’horodatage?
R : [Mark] Dans l’une de nos démonstrations, nous avons montré comment utiliser la variable d’horodatage %t% dans les paramètres de sortie de l’outil de géotraitement pour insérer un horodatage numérique dans le nom du jeu de données. C’est particulièrement utile lorsque vous planifiez l’exécution de votre outil à un moment précis ou si le facteur temps doit être pris en compte dans les résultats de votre géotraitement. À l’heure actuelle, il n’est pas possible de configurer le format de l’horodatage numérique. Mais si vous êtes curieux, regardez ce qui se produit dans l’exemple suivant :
- Vous saisissez la classe d’entités en sortie d’un outil de géotraitement comme suit : C:\Data\NewOutput.gdb\Buffer_%t%.
- Vous exécutez l’outil le 8 octobre 2020 à 10 h 15.
- Le jeu de données en sortie est nommé C:\Data\NewOutput.gdb\Buffer_10082020101500.
Q : L’horodatage peut-il figurer au début du nom?
R : [Mark] Il existe des restrictions quant à la façon de nommer les classes d’entités. Le nom d’une classe d’entités ne peut pas débuter par le symbole « % ». Toutefois, si vous utilisez un trait de soulignement (ou une lettre de A à Z) suivi de la variable d’horodatage, vous pourrez ajouter l’heure au début du nom de la classe d’entités en sortie. Reprenons l’exemple ci-dessus :
- Vous saisissez la classe d’entités en sortie d’un outil de géotraitement comme suit : C:\Data\NewOutput.gdb\_%t%Buffer.
- Vous exécutez l’outil le 8 octobre 2020 à 10 h 15.
- Le jeu de données en sortie est nommé C:\Data\NewOutput.gdb\_10082020101500Buffer.
Vous voilà à la fin de ce billet de blogue. Félicitations, vous êtes maintenant le Yoda d’ArcGIS Pro 2.6. En récompense de vos efforts, nous vous offrons une photo fin-tastique en prime, rien que pour vous.
Image du webinaire refusée (pour des raisons évidentes)
Avant de faire nos valises et de partir, je tiens à remercier Dylan pour son travail exceptionnel, sa magnifique présentation et ses réponses à vos questions. Un grand merci à vous de continuer à soutenir nos webinaires et d’être un excellent public. Vous êtes les meilleurs. À la prochaine fois, SAYONARA!
Ce billet a été écrit en anglais par Mark Ho et peut être consulté ici.